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Art - Renaissance du retable de Roquefixade

Une pièce monumentale réalisée au XVIIIe siècle à partir d’essences locales (résineux, chêne, tilleul) mais dont certaines parties affaiblies par les outrages du temps menaçaient de tomber sur les paroissiens (la statue de la vierge à l’enfant avait été déposée par mesure de sécurité).

La mairie du village a décidé de prendre les choses en main: «la préservation et la mise en valeur du patrimoine de Roquefixade constituent un axe majeur de la politique municipale.

Depuis 1983, les différents Conseils Municipaux ont poursuivi ce mouvement,
explique Francine Authié, maire du village.

Mais cette préoccupation est bien sûr liée aux capacités de financement de la commune rurale qu’est Roquefixade.

Notre ressource essentielle repose sur la taxe foncière qui représente 43 000 € par an soit le prix de cette première tranche de travaux!

Tout investissement dépend donc en grande partie du montant des subventions espérées et de l’étalement sur plusieurs années des projets les plus importants
»

Si pour cette première tranche de travaux (la restauration des boiseries polychromes), les aides des institutionnels (Conseil général, Conseil régional et Direction Régionale des Affaires Culturelles) ont représenté 65% de la somme, la création en juin 2010 de l’association «Patrimoine de Roquefixade» a permis de faire appel au mécénat privé en sollicitant la fondation du Patrimoine à Toulouse, de créer des évènements culturels permettant de lever des fonds (concerts, tombolas).

Si bien qu’aujourd’hui les restaurations du retable du maître autel sont en bonne voie…

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